Financière First National SEC

L’engagement de First National à votre égard pour 2021 : croissance, service et plus encore

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First National entame sa 33e année d’activité en 2021 et Scott McKenzie, premier vice-président, Prêts hypothécaires résidentiels, y est presque depuis le premier jour. Scott est ln des principaux architectes de nos stratégies de croissance d’entreprise et un défenseur infatigable du réseau des courtiers hypothécaires. En ce début de nouvelle année, Scott a fait part de ses réflexions sur l’état de l’industrie et a donné un aperçu des objectifs de First National pour 2021.

Scott, comment caractériseriez-vous l’ambiance qui règne au sein de First National maintenant que les fêtes sont terminées?

Nous sommes de retour, investis d’un mandat clair de développer et soutenir nos courtiers partenaires cette année. Après une année 2020 mouvementée, nous avions tous besoin d’une pause et ce fut formidable de pouvoir prendre du recul à la fin du mois de décembre, de faire une pause et de se rafraîchir pour ce que j’envisage comme une année 2021 très chargée et très productive.  

Avant de nous parler de vos plans et priorités pour 2021, pouvez-vous nous dresser un bilan de l’année écoulée?

En matière de croissance, 2020 a été la meilleure année de notre histoire. Pour être honnête, je n’aurai jamais pensé que ce serait le cas étant donné la conjoncture du marché au printemps dernier. Les deux premières semaines de confinement, au début de la pandémie, en mars, ont été nos plus chargées jamais enregistrées. Cependant, en avril, les engagements ont baissé de 65 % et ils sont demeurés bas en mai. Par contre, la baisse a été de courte durée. En juin, le marché s’est redressé et soudain, pendant l’été et l’automne, le nombre de prêts initiés a monté en flèche et est demeuré élevé jusqu’en décembre. Ce fut une tournure surprenante des événements, mais nous sommes reconnaissants que les conditions soient revenues si rapidement.

First National n’est pas le seul prêteur à avoir enregistré de la croissance.

C’est vrai. Je n’ai pas encore vu les chiffres définitifs, mais je penserais que la part de marché du réseau des courtiers a augmenté, reflétant la valeur ajoutée que les courtiers représentent aux yeux des Canadiens. Je pense qu’il y a également eu un changement dans la préférence des consommateurs ayant favorisé ceux qui étaient capables de travailler sans interruption grâce à la technologie.

Y a-t-il eu des leçons à tirer de l’adaptation aux conditions liées à la pandémie?

Assurément. Au cours de ma carrière, je n’ai jamais rien vécu de tel que j’ai vécu en 2020. La crise financière de 2008-2009 était tout à fait différente. Cette fois, il n’y a pas eu de resserrement du crédit et, à l’exception d’une brève période au printemps, l’activité sur le marché de l’habitation est non seulement restée forte, mais elle a même augmenté. Je dirais que le premier constat est que le secteur hypothécaire a fait preuve de résilience même face à des défis majeurs. Je dirais aussi qu’on nous a rappelé à quel point les courtiers et les prêteurs sont importants et essentiels pour les Canadiens et que la technologie n’est pas seulement un gain de temps, c’est une nécessité absolue.

Certains changements de comportement ou de protocoles induits par la pandémie sont-ils susceptibles de devenir permanents au-delà de la COVID-19?

C’est plus que probable. Je sais que First National a fait bon usage de Microsoft Teams pour permettre aux employés de rester près les unes des autres ainsi que du monde extérieur. Même si rien ne peut remplacer la communication en personne, les communications virtuelles auront un rôle à jouer longtemps bien après la fin de la pandémie. L’acceptation des signatures électroniques et des inspections et évaluations virtuelles de maisons a démontré que la technologie rend beaucoup de choses possibles. Quant à ce qui deviendra permanent, nous devrons attendre et voir, mais il est certain que les discussions politiques sur le système bancaire ouvert au sein du ministère des Finances suggèrent que la technologie entraînera de grands changements à l’avenir. Si et quand le système bancaire ouvert deviendra une réalité, cela ouvrira la voie à un partage libre et sûr de données dans tout le secteur des services financiers, avec la promesse d’une concurrence accrue qui jouera à l’avantage des consommateurs. Bien entendu, la technologie qui sera un pilier de First National à l’avenir est MERLIN.

Pourquoi?

First National a tiré un avantage considérable de MERLIN. C’est une technologie qui a été conçue il y a trois décennies pour un monde virtuel qui est maintenant une réalité généralisée. Pendant la pandémie, cet outil s’est avéré une fois de plus être un élément très pertinent de notre offre de services et de notre capacité à échanger des données rapidement. Bien franchement, nous ne pourrions pas fonctionner sans cette technologie.

Après une année de croissance sans précédent, que comptez-vous faire pour un rappel?

L’un des défis d’une année record est de savoir comment la reproduire. Pour nous, cela commence par faire de notre mieux pour gagner la confiance des courtiers et des emprunteurs jour après jour. C’est notre objectif clair. Pour y parvenir, nous nous concentrerons sur les mêmes priorités que toujours : offrir un bon service et de bons produits.

Que faites-vous en matière de services?

Nous sommes maintenant en pleine croissance, et comptons le plus grand nombre d’employés de notre histoire, soit près de 20 % de plus qu’à pareille date il y a un an. Ces ressources, couplées à MERLIN, devraient nous permettre de saisir rapidement les occasions qui se présentent. Dans ce contexte, l’augmentation soudaine des activités l’an dernier ne s’est pas faite sans difficulté et, à certains moments, elle nous a empêchés d’atteindre les normes élevées d’exécution que nous nous étions fixées. Grâce à cet investissement important dans nos effectifs, nous sommes tous prêts à travailler efficacement en 2021.

Quel est le plan en ce qui concerne les produits?

Un de nos objectifs est de développer Excalibur. En fonction des volumes enregistrés depuis son introduction, nous pensons qu’il existe un besoin important du marché et nous avons renforcé notre équipe dédiée pour soutenir un volume supplémentaire. Je connais Elena Robinson, notre directrice nationale des ventes. Elle est absolument déterminée à tirer parti du récent regain de popularité des prêts Alt-A et des prêts de première qualité et toujours disponible pour parler stratégies avec nos courtiers. Je ne veux pas trop m’avancer, mais nous travaillons également sur quelques projets très intéressants qui, je le sais, plairont aux courtiers. Nous espérons les annoncer bientôt. 

Avez-vous une prédiction à faire concernant le marché?

On me pose cette question chaque année à cette période. En toute honnêteté, il n’est tout simplement pas possible de faire une prédiction valable et, avec la pandémie qui demeure un facteur et les frontières fermées, ça relève carrément de la spéculation. Le bon côté des choses est que des taux d’intérêt bas alimentent certainement l’activité de financement et tout indique que les taux vont probablement rester bas pendant un certain temps encore. Ce dont nous pouvons être sûrs, c’est que First National s’engage à assurer la croissance des courtiers et sa propre croissance. C’est une bonne chose pour ceux qui achèteront une maison en 2021.

Autre chose à ajouter?

Je suis enthousiasmé par ce que nous pouvons accomplir pour les emprunteurs en travaillant ensemble avec la communauté des courtiers. J’aimerais également remercier nos courtiers partenaires d’être restés avec nous l’année dernière pendant un printemps très volatile et imprévisible. Ce fut une année unique en son genre, la plus dynamique que je n’aie jamais vue, et tout le monde a dû s’adapter à la volée. Espérons que 2021 soit une année un peu plus équilibrée. Mais quoi qu’il en soit, nous comptons continuer à vaquer à la croissance et au service. Nous souhaitons à tout le monde beaucoup de succès dans les semaines à venir.