
Sarah Almond: Saisir chaque occasion pour encadrer, mentorer et éduquer
Financière First National SEC
25 juin 2025
mins
Sarah Almond se souvient parfaitement de ce que c’était que d’être nouvelle dans l’industrie. Elle investit donc du temps pour être la mentore et l’enseignante qu’elle aurait aimé avoir à ses débuts.
Ramène-nous au début de ta carrière chez First National.
SA : Avant de me joindre à First National, j’ai été gestionnaire du développement des affaires pour deux prêteurs différents, dont un prêteur à risque ayant traversé une période difficile pendant la crise financière de 2008. Le deuxième était Hypothèques FirstLine de la CIBC, qui a quitté le réseau en 2012. Je savais que j’adorais le poste et que j’avais tissé d’excellentes relations avec les courtiers de mon territoire, soit l’intérieur de la Colombie-Britannique. En 2012, je suis retournée à RBC, où j’avais commencé ma carrière. Kristina Morrison, qui était directrice adjointe à l’époque, m’a téléphoné pour m’informer que First National cherchait à pourvoir un poste. Je savais que c’était ce que je voulais et je faisais confiance à la longévité de First National dans le secteur. J’ai accepté une baisse de salaire pour ce premier poste parce que je considérais qu’il s’agissait d’un investissement dans mon avenir. Je savais que j’adorais le travail et que c’était une occasion en or qui s’offrait à moi de travailler pour une enterprise dont la réputation n’était plus à faire.
À quoi a ressemblé ta première année?
SA : Ce fut incroyable. J’étais de retour dans une fonction que j’adorais. Être sur la route, travailler dans la vente, rencontrer des gens et faire des présentations, c’est l’emploi de mes rêves. Il m’a fallu un certain temps pour comprendre ce qu’était un prêteur spécialisé après avoir travaillé pour une banque. Mais je me suis rapidement adaptée et j’ai su presque immédiatement que j’étais à ma place.
Quel a été le moment qui t’a convaincue que tu étais là où tu devais être?
SA : En tant que gestionnaire du développement des affaires, tu réussis quand tes courtiers réussissent. C’est l’aspect de mon travail que je préfère. Je me souviens d’avoir assisté à notre réunion trimestrielle cette première année-là. J’observais l’équipe de feu réunie dans la salle et je me disais « Wow! Je suis ici, je m’intègre bien et la chimie entre nous est excellente. » Je savais que j’étais destinée à faire partie de cette équipe.
Décris quelques étapes importantes de ta carrière.
SA : Une de mes courtières travaille dans une agence immobilière. J’ai livré des présentations à ses agents immobiliers à plusieurs reprises. En 2022, un de ses agents immobiliers m’a invitée à participer à son balado. À l’époque, je faisais des recherches avec un collègue sur les particularités de la vente aux membres de la génération Z. J’ai pu partager mes idées sur la façon de vendre à ce groupe démographique et sur les obstacles auxquels il fait face dans le marché hypothécaire. Nous avons aussi abordé les avantages de choisir un courtier hypothécaire et une société de crédit hypothécaire. Ce fut pour moi une occasion en or de défendre un secteur que j’aime tant.
Quelle marque as-tu laissée sur l’entreprise?
SA : J’ai souvent l’occasion de rencontrer des courtiers nouvellement agréés qui commencent leur carrière. Au tout début, ce ne sont pas les dossiers qui sont prioritaires. Il faut saisir l’occasion pour les encadrer, mentorer et éduquer. Je partage ce que j’aurais aimé qu’on m’apprenne à mes débuts dans le secteur. C’est le genre d’information qui les aide à s’engager sur la bonne voie. C’est également utile à nos courtiers propriétaires et ça soutient l’équipe. En règle générale, lorsqu’un courtier commence à avoir des dossiers à traiter, c’est moi qu’il appelle en premier. Je crois qu’il faut se montrer sincère et authentique et tisser des relations par l’honnêteté et l’éducation.
Quelle est ta plus grande fierté à propos de ta carrière?
SA : Je suis fière des relations que j'ai nouées, non seulement au cours des dix dernières années chez First National, mais aussi depuis mon premier emploi comme gestionnaire du développement des affaires en 2006. J’ai survécu à beaucoup d’événements ayant secoué ce secteur, notamment à la crise de 2008, à des changements réglementaires et à la COVID. Notre travail a beaucoup changé, surtout depuis 2016. Auparavant, nos présentations portaient surtout les caractéristiques des produits. Aujourd’hui, on s’investit beaucoup dans chaque dossier en raison de l’évolution du marché du crédit et de la réglementation. C’est ce qui m’a permis de rester engagée et de progresser.
Quels sont tes meilleurs souvenirs?
SA : En 2023, j’ai travaillé avec le service du marketing pour organiser un événement à Kelowna à l’intention des courtiers. Nous avons choisi l’emplacement parfait pour l’événement. J’ai été très touchée par le fait que nous organisions un événement dans ma cour arrière. J’ai accueilli trente courtiers et nous avons vécu un moment si spécial et si intime. Une soirée vraiment parfaite à tous points de vue. Je me souviens également de notre congrès sur les ventes en Arizona. Nous sommes arrivés en Jeep à cet endroit tout à fait spectaculaire et avons soupé sous les étoiles en plein désert. C’était au-delà de tout ce que j’avais vécu jusqu’alors dans ma vie.
Laquelle des valeurs de First National résonne le plus à tes oreilles et pourquoi?
SA : Nous gagnons la confiance. Dans la vente, les relations sont primordiales. Je m’efforce toujours d’être honnête et authentique dans mes conversations avec des courtiers. Mon objectif est d’être la première personne qu’ils appellent. En l’absence de confiance et d’intégrité, ce n’est pas possible.
Comment c’est de travailler chez First National en tant que femme et qu’est-ce qui t’inspire?
SA : Pour moi, ce n’est même pas un enjeu chez First National. L’environnement dans lequel nous évoluons est sans équivoque fondé sur l’acceptation. Il y a tant de femmes extraordinaires qui occupent des postes de direction.
Pourquoi nos événements tels que le Mois de l’histoire des Noirs, la Journée internationale des femmes et la Fierté sont-ils si importants et constituent-ils des moyens si concrets de célébrer la diversité?
SA : Tout le monde est valorisé et sa contribution est reconnue. C’est spécial de faire partie d’une culture qui donne ainsi la priorité à l’inclusion.
Quels conseils donnerais-tu à des personnes qui développent leur carrière chez First National?
SA : J’ai toujours dit que c’est la qualité de notre service qui fait étinceler First National. C’est vraiment aussi simple que ça. C’est ce qui nous distingue. La bienveillance est au cœur de notre offre de services. Tu peux être le plus brillant, avoir le meilleur CV et le plus d’expérience, mais si tu n’es pas capable de bienveillance, tu ne réussiras pas ici.
Quelque chose à ajouter en conclusion?
SA : Je suis très reconnaissante de pouvoir faire partie de First National. En 2012, lorsque le deuxième prêteur pour lequel je travaillais a fermé ses portes, j’étais enceinte de ma fille. Aujourd’hui, ma fille a 12 ans. En travaillant chez First National, je suis en mesure de lui offrir une vie formidable. J’adore cette entreprise et les personnes avec qui je travaille. Dix ans marquent un jalon important pour moi. J’ai hâte de voir ce que les dix années à venir me réserveront.
Histoires liées :

- Nous gagnons la confiance
- 30 ans
Connie Altomari: Façonner des carrières et faire une différence notable depuis 30 ans
4 juin 2025

- Nous encourageons l’autonomie
- 10 ans
Cheryl Ward: Avoir la fierté d’accompagner les gens dans la réalisation de leurs objectifs
21 mai 2025

- Nous nous efforçons de faire mieux
- 10 ans
- Anniversaires d’entrée en service
Adam Dunn: Cultiver la collaboration et nourrir la confiance en soi afin d’apporter sa contribution
4 mars 2025

Carrières
Croissance continue. Ambition confiante. Excellence collaborative. Apprentissage en continu. Trouvez votre place, votre raison d’être et vos collaborateurs tout en vous bâtissant une carrière épanouissante au sein de First National.