Eric Poirier célèbre ses 10 ans au service de First National

Éric, que faisais-tu avant de te joindre à First National? 

J’ai vécu à Montréal, où j’ai passé cinq ans dans le secteur du voyage et du tourisme, avant de retourner à l’école pour étudier la comptabilité. Avant de partir pour Toronto, j’étais aide comptable à l’hôtel Omni Mont Royal. J’ai déménagé à Toronto en juillet 2014 et commencé à chercher un emploi.

Comment as-tu choisi de te joindre l’équipe de First National?

J’ai fait appel à une agence de placement spécialisée dans le placement de professionnels bilingues et c’est cette agence qui m’a mis en relation avec First National en septembre de cette année-là. Mon premier poste a été celui de spécialiste de l’impôt dans le service des prêts résidentiels. 

Connaissais-tu quelque chose sur les prêts hypothécaires résidentiels ou les impôts municipaux?

Rien du tout. À l’époque, je n’avais aucune expérience et je n’étais même pas titulaire d’un prêt hypothécaire. Tout m’était étranger. 

Pourquoi penses-tu que tu as été embauché?

Je pense qu’on a aimé ma personnalité et que mes qualités relationnelles convenaient au poste, mais j’ai aussi reçu des commentaires sur mon expérience en comptabilité ainsi que ma capacité d’utiliser les deux langues officielles.

Que faisais-tu dans le cadre de ton premier poste ici?

J’effectuais des paiements d’impôts municipaux au nom de nos clients titulaires de prêts résidentiels et je répondais aux questions que ces clients avaient à propos de leurs comptes d’impôt. Mon travail comportait indéniablement un volet de service à la clientèle. Cela pouvait s’avérer difficile de temps à autre, car, soyons honnêtes, qui veut payer des impôts? Bien que ce ne soit pas nous qui déterminons le taux d’imposition, nous sommes tenus de l’appliquer. Il arrivait que des clients s’en prennent à moi par frustration. 

Comment réagissais-tu à ce type de situation?

Je faisais preuve de respect et de patience. Parce que je prenais le temps d’écouter et d’expliquer la méthode utilisée pour calculer les impôts, la conversation se terminait généralement sur une note positive. C’était une satisfaction pour moi. J’ai occupé ce poste pendant deux ans et demi.

Que s’est-il passé ensuite?

J’ai commencé à ressentir le besoin d’un changement afin de relever un nouveau défi. Je me suis porté volontaire pour observer des collègues du service du financement de prêts commerciaux de First National. Je l’ai fait plusieurs fois et, lorsqu’un débouché s’est présenté, j’ai postulé et j’ai décroché un poste de coordonnateur aux déboursés de prêts commerciaux en juillet 2016. Un an plus tard, je suis devenu spécialiste du financement et, deux ans après ça, coordonnateur aux déboursés principal, puis gestionnaire adjoint au début du mois de septembre.
 
Est-il toujours possible pour les employés de First National de participer à des jumelages?

Absolument, et c’est un des grands avantages d’y travailler. Le jumelage est un moyen très efficace pour vous de déterminer si un poste qui vous intéresse est en fait intéressant, car vous en faites l’expérience de près. First National encourage les jumelages.

Qu’est-ce qui a fait avancer ta carrière?

Je dirais que j’ai le sens du détail et de l’organisation, mais que je suis également ouvert aux nouvelles expériences, naturellement curieux et animé par le désir de comprendre les différentes parties de l’organisation. En matière de financement, l’atténuation des risques est importante. Nous devons non seulement protéger nos investissements, mais aussi satisfaire nos clients commerciaux ainsi que nos partenaires investisseurs. C’est un travail d’équilibriste. Ultimement, je pense que la raison de mon succès est que j’ai l’esprit d’équipe et que j’aime travailler dans tous les volets de notre entreprise, y compris la souscription, ainsi qu’avec des avocats externes, des fournisseurs d’assurance et des investisseurs. 

Tes débuts dans le secteur résidentiel t’ont-ils aidé à exceller dans le secteur commercial?

Bien sûr. L’exigence commune est la capacité à fournir un bon service à la clientèle. La capacité à bien communiquer et la capacité à nouer de bonnes relations sont des compétences importantes, reconnues dans les deux secteurs et transférables. Je pense également que la capacité de résoudre des problèmes ainsi que la capacité de gérer le stress sont des compétences applicables dans les deux secteurs. Par expérience, je pense qu’il y a toujours une solution à chaque problème si on sait garder son sang-froid et la trouver. 

Quel est le moment de ta carrière dont tu es le plus fier?

Ma promotion au poste de gestionnaire adjoint. C’est la première fois que j’occupe un poste de gestionnaire. J’aime vraiment la possibilité qui m’est donnée de prouver mes capacités. Honnêtement, je suis fier d’avoir réussi à progresser toutes les quelques années au sein de First National. Cela démontre que mes gestionnaires ont eu confiance en moi et ont reconnu que j’étais prêt. 

Quatre principes définissent First National comme lieu de travail : toujours s’efforcer de faire mieux, gagner la confiance, encourager l’autonomie et mettre l’accent sur la responsabilité. De ces quatre, lequel résonne le plus à tes oreilles et pourquoi?

Toujours s’efforcer de faire mieux. Je pense que nous essayons tous de donner le meilleur de nous-mêmes dans notre travail. C’est ainsi que nous gagnons la confiance de nos collègues et que nous gagnons en indépendance ainsi qu’en autonomie. J’ajouterais un cinquième principe. L’humilité. Je pense que nous sommes humbles et reconnaissants d’avoir l’occasion de servir autant de clients formidables.

Quels conseils donnerais-tu à celles et ceux qui en sont à leurs débuts chez First National?

Je leur conseillerais de travailler fort, de poser des questions, de prendre des notes et d’être sociables. Nous sommes une entreprise sociable. Donnez le meilleur de vous-mêmes et vous réussirez.

Comment contribues-tu à la culture d’inclusivité de First National?

Nous sommes une entreprise très inclusive et la direction est très accueillante. J’adopte cette même attitude dans toutes mes interactions quotidiennes avec les gens. J’essaie de mettre tout le monde à l’aise, car les gens ont tendance à mieux travailler quand ils se sentent à l’aise. Tout le monde au sein de l’équipe de prêts commerciaux est accueillant.

Le secteur des prêts hypothécaires commerciaux a la réputation d’être un monde d’hommes. Les choses changent-elles?

Bien, je vous répondrai comme suit. Je suis le seul gestionnaire de sexe masculin dans le service du financement de First National. Tous les autres postes de gestionnaire sont occupés par des femmes. Dans notre entreprise, les équipes responsables du financement, des services et des renouvellements sont majoritairement composées de femmes, y compris au niveau de la haute direction. Le montage de nouveaux prêts reste essentiellement un secteur masculin, mais cela aussi est en train de changer.

Pourquoi rester et se bâtir une carrière chez First National?

C’est une excellente entreprise qui offre beaucoup d’occasions propices à la croissance. Elle traite bien les gens. Et je pense que les valeurs de l’entreprise s’harmonisent à merveille avec mes valeurs personnelles. Si vous faites vos preuves, vous aurez accès à des possibilités d’avancement. J’aimerais aborder deux autres points. D’une part, l’entreprise se dirige vraiment dans la bonne direction et, d’autre part, c’est une entreprise qui cherche toujours à s’améliorer. Elle est prête à s’améliorer et elle continue d’investir pour nous aider à devenir plus efficaces et plus modernes. Je pense que First National va continuer à s’améliorer au fil du temps. J’aime ça. 

Qu’est-ce qui te garde chez First National?

L’atmosphère. Je me sens respecté et valorisé. Je passe du bon temps ici. C’est une grande entreprise, mais on s’y sent comme dans une petite entreprise. 

Où te vois-tu dans dix ans d’ici?

Toujours chez First National. Au sein du même service, j’espère, avec encore plus de responsabilités. 

Si vous souhaitez à votre tour féliciter Éric pour avoir franchi cet important jalon dans sa carrière, vous pouvez lui écrire à l’adresse eric.poirier@firstnational.ca.